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Au gré de la plume
9 octobre 2018

Lundi

...... Tout à l'heure je relisais mon message de dimanche. Et quand je suis retombé sur ~~~ "il ne faut pas défendre nos démocraties... il faut les promouvoir".... b'en "promouvoir" ça veut dire quoi ? Hein ? Attaquer, contre-attaquer ? Serions-nous en guerre, en guerre, par exemples, contre les nationalisstes ces partisans du "baissons la herse, fermons portes et fenêtres", contre les pouvoirs autoritaires, le Chinois, le Russe, le Turc, ... contre les racistes de Hongrie, de Pologne, d'Autriche, d'Italie,... je m'essouffle, contre les climato-sceptiques... ?

Contre, contre... l'inacceptable oui mais "pour" quoi ? Des gens "contre" on en connaît en Suisse, en Europe, contre tout, être "contre" ne suffit pas il faut être "pour". 

- Oui, mais "pour" quoi ? 

Et puis être "pour" comme ça, en théorie, le cul sur sa chaise comm'j'dis, non, non, adhérons à un parti, n'importe lequel, enfin .... sauf les extrêmes. Soyons "membres" d'une église, d'une anti-église, d'un club, d'une association de n'importe quoi,.. Ayons une carte de membre dans notre porte-monnaie.

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Un milan.

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Les mouettes du lac de Gruyère.

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........

L.T.

P.S.: Il fut un temps où je faisais de plus jolies photos...  Ah, l'histoire de ces papillons géants ! Leur envergure dépasse les quarante centimètres (sans exagération !). Notre voisine de Buoi, la professeure d'anglais, me répétait souvent que si la grande branche de son arbre nous dérangeait, elle demanderait à son fils de la couper (elle l'a fait depuis, hélas). Une branche immense qui couvrait notre "yard", ce petit espace devant la porte d'entrée. Un matin j'ai découvert de grosses poires suspendues ici et là, sur nos têtes. Ses cocons se transformèrent en chrysalides à mon insu puisque tout se passait à l'intérieur et que je n'y connaissais rien en lépidoptères. Le processus d'épanouissement fut long et dégoûtant. Je me souviens avoir pensé à la vulnérabilité de ces holométaboles. La métamorphose prenait son temps. Et puis une fois libéré de son cocon le papillon ouvrait ses ailes et les séchait. N'importe quel prédateur aurait pu les attaquer. Plus étonnant: ils ne volaient jamais. Un matin j'en découvris qui s'accouplaient.

Un autre matin ils avaient disparu.

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La grenouille ? Durant mes bonnes années à Buoi j'en ai photographié des dizaines. Jamais deux à la fois. D'où venaient-elles, tombaient-elles du ciel... échappant ainsi aux griffes d'un oiseau ? Le Grand Lac de l'Ouest est à plus de trois cents mètres. Et ceux qui connaissent l'endroit comprendront bien qu'arriver chez nous "à pieds" est un extraordinaire défi. Je les ai toujours capturées pour les mener au lac sans leur demander un avis.

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Mes souvenirs du marché aux animaux sont mitigés. Le coeur fendu par la misère des chiens, chats, canards,... et par la sympathie à mon égard des campagnards et campagnardes qui les vendaient. J'ai surpris ces gens par la constance de mes visites et le partage de photos. Quinze ans ! 

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Ce moment du matin quand Dulcinée partait à son travail. Nous étions présents, inutiles et fidèles. De la nostalgie ? Oui. Mais je n'oublie pas les jours difficiles. Grâce à Juju je ne me suis jamais senti seul (de 1999 à 2013, quatorze ans quand même !). Il y avait aussi les rats, les souris, les cafards, les araignées,...

- On les tuait ceux-là, hein mon Papy !

- Ouaie...

....

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