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Au gré de la plume
15 juillet 2017

Vive l'Empereur ! Vive Jésus !

 

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Une toute petite, toute jeune "Gossip" croisée sur notre chemin.

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La vraie, l'unique, irremplaçable.

L.T.

PS.: Nom d'une pipe, me voilà de la plus mauvaise des humeurs et en plus mon n'veu chuis même pas en phase descendante, genre plongée abyssale.

Tout!

Ça a commencé hier matin, Dulcinée me reprochant mon comportement lors d'un repas entre amis, repas partagé la veille. Évidemment je suis causeur et il m'arrive d'occuper trop de terrain et de boire un coup. Et chuis un excessif du genre qu'en rajoute une louche quand la soupière est pleine. Têtu et borné. 

Bon c'était mal parti après le petit déjeuner. 

Elle voulait voir si on soldait les "note-book" chez Média Mart (Fribourg nord., pas loin). Y'avait un Lenovo pas cher mais pas annoncé en promotion. Therefore... no green tea light !

Elle a quand même trouvé des chaussures pour son petits-fils.  

...............

Je ne fais pas de l'anti-macroniste, je m'amuse en essayant d'éviter le délire ! 

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"Il est temps de mettre un peu d'ordre dans ces histoires de Jupiter, de pharaon, et de petit prince de la politique. Notre Emmanuel est en réalité un simple Christ mais de bonne famille.

C'est pour accentuer sa ressemblance avec Dieu que Jean-Luc Mélenchon refuse de porter cravate. Le Christ fut crucifié sans même un nœud papillon, et qui imaginerait le Saint-Esprit voletant au-dessus du monde, lavallière au vent, comme la première médaille Fields venue ? Pour ménager ses effets, je lui conseille d'attendre janvier 2018 avant d'arriver en pagne à l'Assemblée, et le premier jour du printemps pour le jeter du haut de la tribune à la figure de cet Edouard Philippe, afin qu'il s'en serve de chiffon à barbe.

Du reste, le Christ est un personnage ancien qu'il importe de dépoussiérer pour lui rendre tout son éclat. Il est temps qu'il renaisse, se réincarne sous les traits d'une jeune fille d'aujourd'hui, d'un jeune homme plein d'allant. D'aucuns prétendent qu'il a eu l'idée, il y a trente-neuf ans, de revenir dans la peau d'un futur banquier devenu, par la volonté du peuple, patron de notre vieux pays, et qu'en d'autres termes Macron est la version rock'n roll du Nazaréen en croix dans nos églises, qui auraient, elles aussi, besoin d'être actualisées pour prendre des airs de salles de marché, afin d'être prises au sérieux par les patrons des start-up.

A l'âge de Macron, le Christ était déjà mort depuis longtemps. Mais en deux mille ans l'espérance de vie a sérieusement grimpé. Il est normal que de nos jours le fils de l'homme s'attarde ici-bas davantage. En outre, de 12 apôtres il est passé sans coup férir à 308 députés. S'il y a un Judas à la douzaine, ils sont 25 et des poussières prêts à le sacrifier le moment venu pour 30 deniers, pour sauver leur carrière si en ce temps-là le bateau prend l'eau, pour rien peut-être. Quand sonnera l'heure des trahisons, ils se bousculeront pour le vilipender dans l'Hémicycle, le calomnier dans les couloirs, cracher aux médias leur soudaine haine de lui dans la salle des pas perdus.

Notre Emmanuel est en réalité un simple Christ éduqué, pas un de ces hommes du populaire, charpentiers sans réel esprit d'entreprise, incapables à 30 ans passés de monter leur boîte.

Régis JauTemps 
Depuis deux mille ans, les moeurs se sont policées. On ne crucifie pas en France les chefs d'Etat, ni on ne les guillotine comme des rois, et quand on les condamne à deux ans de prison, leur peine est assortie d'un sursis. Le supplice qui menace la fin de carrière de nos présidents, c'est d'être traînés dans la boue, donnés aux chiens par leurs meilleurs amis, peinturlurés par une ex dans un pamphlet. Bref, d'être hollandisés comme le précédent locataire de l'Elysée qui portait, du reste, un patronyme prémonitoire.

Il est temps de mettre un peu d'ordre dans ces histoires de Jupiter, de pharaon, de petit prince de la politique - comme si Emmanuel Macron était un cousin de Gérard Lenorman qui fut dans les années 70 celui de la chanson française. Notre Emmanuel est en réalité un simple Christ, mais de bonne famille, pas un de ces illuminés qui voient le jour comme des mioches de hippies écologistes entre un âne et un bœuf au fond d'une étable puant le crottin. Un Christ éduqué, pas un de ces hommes du populaire, charpentiers sans réel esprit d'entreprise, incapables à 30 ans passés de monter leur boîte et qui voient pour seule issue à leur survie la fondation d'une religion dont ils seront les tenanciers adorables.

Christ Emmanuel est diplômé, parle plusieurs langues étrangères, même si pour l'instant il ne fait que baragouiner le cananéen dans le secret de sa salle de bains, malgré les hurlements du Saint-Esprit perché sur le pommeau de la douche qui croasse comme une volée de corbeaux." Marianne.net.

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