Comme un soulagement

  

Et pourtant, nous sommes d'une humeur paisible.

 

et depuis il pleut....

 

Pèlerinage au bord du lac Léman pour conclure cette semaine.

  

Dulcinée se rassure, Juju flotte dans un joli coin et en bonne compagnie. 

 Un cygne aurait-il fauté avec une oie ? 

 

Vivre ensemble...

Et avec tous ces migrants !  

 

 

 

Après nous nous installons au stade de Coubertin, pique-nique en suivant une compétition d'athlétisme,

les jeunes Suisses et Suissesses de moins de 18 ans.

 

Apres le café on jette un œil à la fête de la Nana (Navigation) du côté d'Ouchy.

 

Et la chienne Zazie se demande pourquo on se promène dans cet endroit.

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L'affût, toujours Fabrice de Côte d'Or.... lien sur la droite.

L.T.

P.S.: Il pleuvine, la température baisse, le brouillard étouffe le village... et pourtant.

05h00: je suis éveillé mais je ne bouge pas, paresse. Dans ma tête ça navigue entre des images de Juju et d'autres de mes bricolages. Je cherche comment "fixer de manière amovible" (?) la haillon de mon fourgon. Un coup de Juju. Ensuite je pense aux ailes du triplan du baron von  Richtofen, trois don, peindrai-je la croix de la Wehrmacht sur ce coucou de la Guerre de 14 - 18 ? Il est bien jeune mon Baron Rouge, 14 - 18 la fin des combats "chevaleresques". The Red Fighter Pilot. J'aurais pu choisir Georges Guynemer — Wikipédia dont j'ai découvert l'histoire il y a 60 ans. Mais comme mon tube de couleur rouge est encore tout plein... j'ai penché pour l'avion du pilote de l'Empire germanique.

06h00: Zazie vient aux nouvelles. Elle dit qu'elle "doit" sortir. Je m'habille en vitesse et on y go (comme disent les Camerounais). Promenade autour du village. Les chats sont au sec, pas un. Les gens sont aux plumes.

07h30: on petit-déjeune. 

08h00: chacun de son côté, nous consultons notre courrier.

09h00: Dulcinée prépare un pique-nique. Dans un moment nous descendrons au bord du lac Leman (65 km de chez nous). Nous partagerons ce repas avec Juju-la-flottante, la chienne Zazie sera de la partie. La tristesse est bien la mais elle s'accompagne d'une paix étrange et douce. Il me semble comprendre cette histoire de "faire son deuil", on ne transforme pas une personne, un animal, un événement en "souvenir", on lui trouve un espace confortable où il, elle peut s'installer... entre notre cerveau et notre cœur. Le sentiment, car ça reste un sentiment, que ce qui manque... manque moins puisqu'il, elle a trouvé un espace en nous, un espace qui s'arrange avec la suite de nos vies.

16h30: nous voilà de retour.

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