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Au gré de la plume
21 juin 2018

Mercredi

..... Si ce blogue n'était pas ce blogue....

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Pour la Fête de la Jeunesse les visiteurs parqueront dans les champs voisins.

De la place pour 1500 voitures... on se réjouit.

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P.S.1.: Moa, moa chuis qu'un Gnolu et il m'arrive de raconter de grosses âneries. Mais là je suis battu par un pro du capitalisme. Il commence déjà par "le capital n'a pas bonne presse", misère, on se demande à qui appartiennent les journaux ! Le reste ne vole pas plus haut, attaquer notre "Ziegler national" * * et.... ses amis (sic), ça ne se fait même plus. Sur la fin notre Christophe (alter ego de notre "Blocher national" **) met en opposition le capitalisme et la caste politico-administrative et s'en prend "aux fonctionnaires" (il en est un !). Espérons que les patrons (qu'il représente) ne pensent pas comme lui. Encore un honnête homme qui rêve de voir disparaître les hérétiques socialistes des Chambres législatives...

Mon p'tit gars, c'est foutu.  

* Qu'est-ce qu'un gnolu (savoyard) ou niolu (vaudois)? C'est un imbécile, un niais et un incapable, parfois un rêveur.

* * En Suisse on se méfie des personnalités ou des caractères trop forts. La majorité de la population est incapable de dire qui est le président du pays, incapable de nommer les 7 ministres en place. Si l'un d'eux joue la star on le remet vite à sa place. Mais nous avons quand même quelques personnages colorés à "gauche" et à "droite" et même au "milieu" (centre).

- Jean Ziegler (Jean Ziegler — Wikipédia ) est un comique de gauche énervant et sympathique. Il a rencontré le Che et Khadafi, entre autres phénomènes du Vingtième Siècle. S'il s'est fait un nom à l'international, son engagement national est quasi nul.

Il a toujours eu de la peine à reconnaître ses erreurs.

- Christophe Blocher, aux antipodes de Ziegler. Un nationaliste féroce, chef d'entreprise, collectionneurs d'art, patron de presse. Son activité politique est "intérieure", du genre Switzerland First bien que ses sociétés produisent aussi en Chine. (Christoph Blocher — Wikipédia). 

Les deux sont des hommes vieillissants.

L'article qui suit est une insulte à l"intelligence moyenne", aux fonctionnaires * et aux politiques * de la Suisse.

* Les fonctionnaires ne sont pas que des personnes assisses derrière un bureau, mais aussi des "hospitaliers", des policiers, des universitaires et des chercheurs, même des journalistes,... Les "politiques" sont souvent des bénévoles ou à temps partiel comme dans nos villages.

.......

Il m'est arrivé plusieurs fois de reconnaître les faiblesses des gestionnaires "de gauche" et de défendre la valeur des coalitions droite-centre-gauche. Les compromis sont frustrants mais ils épargnent un vaincu et consolident l'unité du pays.

"Derrière" l'article qui suit on découvre toute la détestation de certains envers le "social", et parmi eux de bons chrétiens.

La chute du communisme en Occident a réveillé chez ces gens un vieux rêve: liquider le socialisme. Ces mêmes capitalistes n'ayant par ailleurs aucuns scrupules à travailler et à commercer avec des États communistes et/ou totalitaires.

Il faut que l'Europe trouve un compromis sur les migrants, d'un côté arrêtons de dire que "la barque est pleine", de l'autre il est urgent de sauver  les victimes de guerres, persécutions et d'oublier les "damnés de la terre", ces miséreux qui veulent fuire une misère "économique". Aidons-les chez eux.

- Et l'Érythrée, O Mon Papy ?

- L'Érythrée a moins de 6 millions d'habitants. Ce flux n'est pas massif. Considérant la durée de vie dans ce pays, ~. 50 ans, cela pourrait signifier 120'000 réfugiés par an. 4000 pour chacun des 30 pays d'Europe.

Revenons à notre mouton blanc capitaliste, ce Christophe Reymondin, un homme si petit. L'autre jour je me suis échauffé en blâmant les libéraux, hommes de paille du capitalisme ou du libertarisme, je m'en prenais aussi au Corps médical, ce hors-la-loi. Mes piques étaient minables. Mais alors là, lire (ce qui suit) ce papier m'a effrayé. 

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Il n'y a d'économie que capitaliste
L'invité Christophe Reymond rappelle un fondement de l'activité économique.

24 Heures / 19 juin 2018 / Ch.Reymond, directeur du Centre patronal (?). 

Le capital n’a pas bonne presse. L’auteur du livre qui porte ce nom et dont on vient de célébrer le 200e anniversaire de la naissance a fait des émules. Le capital, entend-on de partout, appauvrit le travailleur, le spolie, participe à sa déshumanisation. Bref, il est l’ennemi irréductible des peuples. Mais sait-on vraiment de quoi l’on parle? Dans les colonnes de ce journal, il y a quelques semaines, l’inénarrable Jean Ziegler affirmait n’avoir toujours pas renoncé à «abattre le capitalisme».

Dans un sursaut de lucidité, il ajoutait cependant ne pas savoir par quel autre système il fallait le remplacer. L’ami des dictateurs n’est certes pas très doué en économie, mais peut-être pressentait-il cette vérité qu’il ne peut exister de vrai système économique sans capital.

«Il est dangereux de concentrer entre les mêmes mains le pouvoir politique et la puissance économique»

Sauf à gratter la terre avec ses mains, sauf à se résoudre à l’animalité en ne visant que la survie, il faut bien recourir au capital. Celui-ci n’est rien d’autre que le produit épargné du travail antérieur et il constitue le moyen indispensable à toute activité économique un tant soit peu articulée.

Quand Jean Ziegler invite à rompre avec le capitalisme, on doit donc supposer qu’il n’en appelle pas à cesser toute action productrice. Il se précipite sur une formule commode qui se traduit dans beaucoup d’esprits par l’image agréable du coup de pied dans les fesses du gros type en haut-de-forme qui exploite les classes laborieuses. C’est évidemment plus susceptible de séduire que s’il expliquait la vraie signification de son slogan: diminuer la propriété privée et diverses libertés économiques pour augmenter symétriquement les pouvoirs et les privilèges de la caste politico-administrative. Car ce qu’il souhaite au fond demeure du capitalisme, mais à la sauce étatique.

Cette attribution de plus de moyens de production à l’État ne résout pas la question de l’usage qui peut en être fait, ni celle de la répartition des fruits de cette production. La propriété privée non plus, d’ailleurs, qui ne favorise pas automatiquement l’efficacité économique.

Responsabilité engagée

Il est certain en revanche qu’elle garantit la responsabilité car lorsque l’entrepreneur privé se trompe, il est sanctionné par le marché, perd sa place ou disparaît dans la faillite. Lorsque le producteur est étatique, le fonctionnaire qui a pris la décision n’est pas vraiment au pied du mur. Ce n’est pas qu’il se trompe moins souvent, mais il est rarement sanctionné.

Surtout, la propriété privée évite de concentrer entre les mêmes mains le pouvoir politique et la puissance économique. Elle multiplie les centres de décision autonomes. En ce sens, elle s’érige en garante des libertés personnelles. Mais il est vrai que les libertés individuelles n’ont jamais été le premier souci de M. Ziegler et de ses amis.

 

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P.S.2.: Mon "TEAM LEADER"...., mon papa ch'est l'p'us fort ! Je n'irai pas à Genève (je suis agoraphobe) mais j'ai donné CHF 20.- pour participer aux frais.

 

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Exclusive: Pope criticizes Trump administration policy on migrant family separation

Speaking to Reuters, the Pope said he supported recent statements by U.S. Catholic bishops who called the separation of children from their parents "contrary to our Catholic values" and "immoral".

"It's not easy, but populism is not the solution," Francis said on Sunday night.

In a rare, wide-ranging interview, the pope said he was optimistic about talks that may lead to a historic agreement over the appointment of bishops in China, and said he may accept more bishops' resignations over a sexual abuse scandal in Chile.

Reflecting at his Vatican residence on his five years as pope, he defended his leadership of the Roman Catholic Church against criticism by conservatives inside and outside the Church who say his interpretation of its teachings is too liberal.

He also said he wanted to appoint more women to top positions in the Vatican administration.

One of his most pointed messages concerned President Donald Trump's zero-tolerance immigration policy, in which U.S. authorities plan to criminally prosecute all immigrants caught crossing the Mexican border illegally, holding adults in jail while their children are sent to government shelters.

The policy has caused an outcry in the United States and has been condemned abroad as videos emerged of youngsters held in concrete-floored enclosures and an audio of wailing children went viral.

U.S. Catholic bishops have joined other religious leaders in the United States in condemning the policy.

"I am on the side of the bishops' conference," the pope said, referring to two statements from U.S. bishops this month.

"Let it be clear that in these things, I respect (the position of) the bishops conference."

Francis' comments add to the pressure on Trump over immigration policy. The pope heads a church which has 1.3 billion members worldwide and is the largest Christian denomination in the United States.

The president has strongly defended his administration's actions and cast blame for the family separations on Democrats.

"Democrats are the problem," Trump said on Twitter on Tuesday. "They don’t care about crime and want illegal immigrants."

The U.S. crackdown chimes with a new political mood sweeping western Europe over the large numbers of migrants and asylum-seekers, most of them escaping conflict and poverty in the Middle East and Africa.

The pope said populists were "creating psychosis" on the issue of immigration, even as aging societies like Europe faced "a great demographic winter" and needed more immigrants.

Without immigration, he added, Europe "will become empty."

CHURCH'S FUTURE "ON THE STREET"

Since assuming the papacy in 2013, Francis has promoted a liberal interpretation of Catholic teachings at a time when politics in many parts of the West have shifted toward economic nationalism.

He has faced internal opposition from conservative clergy who oppose his liberal interpretations, especially his approach to sexuality and showing mercy toward divorced Catholics. But the pope said he prayed for conservatives who sometimes said "nasty things" about him.

Defending his leadership, the 81-year-old Argentine pontiff said the future of the Catholic Church was "on the street".

He said he wanted to appoint more women to head Vatican departments because they were better at resolving conflicts, though this should not lead to what he called "masculinism in a skirt".

The pope said his health was good apart from leg pain related to a back condition. He reiterated comments first made shortly after his election that he may someday resign for reasons of health as his predecessor, Pope Benedict, did in 2013, but said: "Right now, I am not even thinking about it."

He spoke at length about immigration, a controversial issue in Europe as well as the United States. The populist Italian government has refused port access to non-government ships that have been rescuing asylum-seekers trying to cross to Italy from Africa in flimsy boats.

One ship was forced to disembark more than 600 migrants in Spain at the weekend.

Italy's interior minister, Matteo Salvini, who is also leader of the far-right-wing League party, has criticized the pope in the past, once saying the pontiff should take in migrants in the Vatican if he was so concerned about them.

"I believe that you cannot reject people who arrive. You have to receive them, help them, look after them, accompany them and then see where to put them, but throughout all of Europe," Francis said.

"Some governments are working on it, and people have to be settled in the best possible way, but creating psychosis is not the cure," he added. "Populism does not resolve things. What resolves things is acceptance, study, prudence."

SOME STRUGGLES AND TOUGH DECISIONS

Francis said he was saddened by Trump's decision last year to implement new restrictions on American travel and trade with Cuba. The move rolled back his predecessor President Barack Obama's opening to the island nation. That deal, which the Vatican helped broker, "was a good step forward", the pope said.

He also said Trump's decision to pull out of the Paris agreement to curb climate change caused him "a bit of pain because the future of humanity is at stake". The pope said he hoped Trump would re-think his position.  

Rejecting criticism that he is at risk of selling out Chinese Catholics loyal to the Vatican, Francis said talks to resolve a dispute over the appointment of bishops in China – an obstacle to resuming diplomatic ties – were "at a good point".

The pope has accepted the resignations of three bishops in Chile over the sexual abuse scandal there and allegations that it was covered up. He said he could accept more resignations but did not say which bishop or bishops he had in mind.

The pope also commented on internal criticism of his papacy by conservatives, led by American Cardinal Raymond Leo Burke.

In 2016, Burke and three other cardinals issued a rare public challenge to Francis over some of his teachings in a major document on the family, accusing him of sowing disorientation and confusion on important moral issues.

Francis said he had heard about the cardinals' letter criticizing him "from the newspapers ... a way of doing things that is, let's say, not ecclesial, but we all make mistakes".

He borrowed the analogy of a late Italian cardinal who likened the Church to a flowing river, with room for different views. "We have to be respectful and tolerant, and if someone is in the river, let's move forward," he said.

He said reform of the Vatican administration, the Curia, was going well "but we have to work more". The pope once criticized Curia careerists as having "spiritual Alzheimer's".

Francis said he was mostly happy about reforms enacted to make once-scandalous Vatican finances more transparent. The Vatican bank, which closed hundreds of suspicious or dormant accounts, "now works well", he said.

"There have been some struggles and I have had to make some strong decisions," he said.

(Reuters will be releasing more on the pope's interview throughout the day.)

(Editing by Mark Bendeich and Timothy Heritage)

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