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Au gré de la plume
6 mars 2017

Dimanche

 

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L.T.

P.S.: Une envie de retrouver l'esprit de Trieste... et après la nouvelle de Tchekov ("Katchanka")... une manière de retrouver Juju.

Et Italo Svevo, littéralement « Italien Souabe », pseudonyme de Ettore Schmitz, né Aron Hector Schmitz le 19.12.1861 à Trieste et mort le 13 septembre 1928 (à 66 ans) à Motta di Livenza, près de Trévise, est un écrivain italien. Italo Svevo est considéré comme l'un des plus grands romanciers du xxe siècle.

Svevo naît à Trieste en 1861 d'un père juif allemand Franz Schmitz, et d'une mère italienne, Allegra Moravia, issue de la communauté juive de Trieste. Cette ville fait alors partie de l'Empire austro-hongrois et le restera jusqu'à la fin de laPremière Guerre mondiale.

À l'âge de 12 ans, il est envoyé avec ses frères Adolfo et Elio dans un internat à Segnitz, près de Wurtzbourg, en Bavière. Leur père estimait en effet qu'il était nécessaire de bien connaître l'allemand pour devenir négociant. Ettore assimile rapidement la langue allemande et découvre les grands penseurs allemands, dont Arthur Schopenhauer. De retour à Trieste, en 1878, il abandonne ses études pour travailler dans une banque comme commis, puisque son père, entrepreneur verrier, a fait faillite. Il raconte cette période de sa vie dans Una Vita." Wikipedia.

Denis Ferraris, « La conscience d’Argo. Svevo au pays des chiens qui parlent », Italies[En ligne], 10 | 2006, mis en ligne le 10 juillet 2009 URL : http://italies.revues.org/1966 ; DOI : 10.4000/italies.1966

La conscience d’Argo. Svevo au pays des chiens qui parlent, par Denis Ferraris.
https://italies.revues.org/1966, clic....

Un article très bien fait (de mon point de vue).

Résumé de la nouvelle.  Accès libre sur www.litteratureaudio.org. 

" Dans un texte bref, sans doute tardif et peut-être inachevé, Argo e il suo padrone, Svevo a voulu présenter au lecteur les mémoires d’un chien doué de parole, retranscrits en italien par son maître. Le souci de l’écrivain a manifestement été de rendre aussi vraisemblable que possible le discours du chien, tout en évitant de donner à celui-ci le tour classique d’une parole humaine prêtée à un animal dans une intention satirique et morale. L’étude proposée a pour finalité de relever et d’analyser les principales caractéristiques de ce discours, dans lequel on peut relever les traces non seulement de certaines lectures déterminantes de l’auteur mais aussi de sa vision du monde, de son éthique et de son imaginaire personnel, habilement filtrées dans une narration à la fois grave et facétieuse". 

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