Mauvaise humeur...
Il me fait concurrence...
L.T.
P.S.: Pourquoi se réveille-t-on parfois de mauvaise humeur ? C'est dans la "nature humaine" répondront peut-être certains. Qu'est-ce que la "nature humaine" et comment se différencie-t-elle de la nature (Mère Nature comme disent les Américains) ? Enigmatique nature humaine. - PhiloLog . Pouf... déjà: un mot dont j'ignorais l'existence: l'idiosyncrasie !
Lire tout ça c'est bien, chacun en tire ce qui lui convient (ou ce qu'il lui convient). L'homme vit en groupe et est de ce fait soumis à la morale (loi) de ce groupe (morale bonne ou mauvaise, impossible de le dire), morale qui définit le juste de l'injuste. Les vaches dans le champ voisin vivent aussi en groupe. Savent-elles ce qui est juste (bien) ou injuste (mal) et comment sont-elles influencées par leur état domestiqué ?
Quand j'écris qu'il est impossible de démontrer qu'une "morale" est bonne ou mauvaise, en fait je n'en sais rien... seules la survie et la prospérité du groupe peuvent démontrer la justesse de la-dite "morale".
- Dear Papy, n'est-ce pas une dangereuse affirmation ? Cette affirmation prétend-elle que le progrès est incontournable à la maintenance de cette survie ? On sait en effet que pour certaines "cultures" (incluant des religieuses et/ou des mystiques) cette notion d'"évolution" est abjecte (au sens post-révolutionnaire du terme). Par ailleurs, Dear Papy, on peut prendre cette affirmation comme une apologie du capitalisme, non ?
- Indeed, Dear, Love.
- Je te croyais encore fidèle à un idéal socialiste ?
- Le progrès n'est pas synonyme de perfection, on peut tenter d'améliorer "la condition humaine" en faisant des âneries, je te réponds ceci en préambule, O Ma Chère Juju, ensuite je te blâme avec tendresse toi qui prends (et trouves ?) plaisir à relever mes contradictions. La contradiction est au progrès ce que le sel est à notre alimentation. Les sociétés communistes vivent et vivaient sans sel. Mais c'est vrai, le socialisme est devenu opportunément rose. Cependant je le vois comme une barrière, unique, aux dérives du capitalisme (ou du libéralisme si l'on préfère). Que nos "Jeunes socialistes suisses" sortent des conneries de temps à autre amuse leurs adversaires (on dit même qu'ils s'en réjouissent, n'y voyant qu'utopie et naïveté). Laissons la Droite se taper la graisse de ses cuisses. Le seul idéal des Droites est le maintien des privilèges d'une minorité. Il arrive que ces Droites donnent du grain aux "petits" pour les calmer. Ça marche... les vacances, les retraites, les soins de santé,... Et encore ces Droites n'ont cédé que sous la pression des "Socialistes".
-Votons "Socialiste"!
- Merci Juju. Je sais (bien) que les gentils visiteurs de mon bloguinatzet pensent autrement. Mois je n'ai rien choisi, je suis chrétien-social comme le fut mon papa.