Un certain stress/2 juillet 2013
- Juju j'ai la trouille.
- C'est quand même pas la mer à boire ?
- Chais pas ma Juju, t'sais ton Papy n'a jamais été un grand buveur d'eau de mer.
(Rédigé en avance) De l'émotion, forcément. Une grosse envie d'essayer autre chose. Mais je tenterai de continuer à partager, pour le plaisir, parce que je reçois bien plus que ce que j'"offre". Et cela m'aide et m'a beaucoup aidé à me retrouver (ou éventuellement à me trouver).
(Merci Claire)
Notre programme, essentiellement juillet-août, c'est "pas de programme". Dulcinée me dit qu'elle souhaite souffler un peu. Mais , promis, juré, craché (au singulier, il n'y a que moi qui crache), nous passerons ici et là, en prévenant.
Fort possible que nous résidions à gauche et à droite, en haut et en bas de la France, dans des maisons d'hôtes (BnB) qui voudront bien tolérer la présence de notre chienne.
Copyright F.L. 06/2013
à bientôt.
Mardi matin, 2 juillet, en silence...
Rue Thuy Khue.
Le liseron d'eau et les joueurs d'echecs.
Au carrefour.
Le sommet de la "montee" de Buoi.
Le chantier de la rue des plantes.
Mon café.
Jour de lessive au magasin qui vend des animaux de compagnie.
- A bientôt Mon Bon, veille sur le petit singe.
- Pars tranquille, courage à Juju.
Retour sur la rue Thuy Khue.
J'ai fait ce que j'ai pu avec mon petit appareil de secours !
L.T.
N'hésitez pas.... la Chine autrement:
Blog de la vie courante en Chine en 2013, vers Pékin et ... - Canalblog
P.S.: C'était samedi 29, midi, repas avec nos amis et voisins, au Métropole:
Samedi 29 juin, 11h30. Ruelle 530.
- Re....
- Re....
Le chien fidèle panique. Il a tellement l'habitude d'etre enfermé dans son coin.
Dulcinée Mamouchka et Momo, sa cadette.
Apres le buffet, le café au salon de l'hôtel.
Joseph et sa fille ainée.
C'est assez amusant. Durant ce repas j'ai eu le sentiment que Mamouchka et Dulcinée complotaient. Verraient-elles d'un bon œil l'accouplement de leur engeance ? Certes le "petit" a déjà une bonne amie (qui nous rejoindra plus tard - notons qu'elle ne fut pas invitée au repas). Mais ici "volonté de mères fait loi". Et de son côté le "gamin" a fait savoir à sa génitrice, il y a quelques jours de cela, qu'il comptait mettre un terme à cette trop contraignante fréquentation.
Les deux familles se connaissent bien et surtout connaissent toutes les faiblesses de leur propre progéniture. Le gamin est un mou comme son père, mais plutôt d'honnête nature et il a de bonnes manières quand il veut.
(Signalons, pour l'anecdote, que ce furent les Soviets qui dénichèrent une "nouvelle femme" à l'ex-mari de Dulcinée).
L'aînée des Soviets cache, derrière un caractère bien trempé (héritage maternel), un complexe physique, elle n'est pas grande, enfin pas assez à ses yeux. Et puis son visage est plutôt "fade".
Cependant les deux ont étudié à l'étranger (Elle en Amérique, lui en Suisse et en Amérique). La demoiselle est terriblement ambitieuse et sait le prix qu'il faudra payer pour "réussir", elle ne sombrerait donc pas dans trop de romantisme et lâcherait les baskets de son compagnon. C'est justement là que le "bât" blesse, le miteux ne tombe jusqu'ici que sur de (très) mignonnes demoiselles dévoreuses d'affection (donc de temps)... ce qui est incompatible avec son nouveau travail.
Les Soviets en sont conscients, leur fille n'est pas un canon, ils craignent qu'elle se fasse séduire par un garçon sans scrupule et dénué de savoir-vivre. Le gamin a déjà derrière lui un joli passé romantique, ce qui pourrait plaider en sa faveur. Le jeune bourdon aurait assez butiné pour enfin savoir trouver copieux pollen.
Dulcinée a une parfaite idée de la demoiselle, ambitieuse, disais-je, mais bosseuse, attaquant de front, déterminée à s'enrichir tout en fondant une famille selon les critères (standards) de la nouvelle bourgeoisie. C'est aussi une jeune femme bouillonnante de sensualité bien qu'encore vierge jusqu'au bout des lèvres. Le petit ne s'ennuyerait pas au lit !
Ah, il était aussi amusant de suivre du regard Joseph, Joseph qui, de temps à autre, testait le gamin sur un sujet ou un autre, ce qui me rappelait un peu mes premières discussions avec le papa de Dulcinée. Et puis l'hôtel où travaille le fils de Dulcinée est une affaire sous tutelle de l'Armée... ce qui ne peut donc que convenir à notre ami colonel.
Et n'oublions pas l'aspect "financier". Certes le petit apporterait moins dans la corbeille, mais ils pourraient rapidement acheter un appartement confortable. Elle, elle vise déjà une "Austin-Cooper", nouveau modèle très en vogue ces temps dans la capitale. 30'000 USd sans les taxes mais comme la maman est dans le business des voitures, elle saura faire.... pour évite ce "gaspillage". Et c'est toujours la maman qui a trouvé un travail pour sa fille.
Le fils de Dulcinée et sa bonne amie nous ramènent dans la Mercedes de Tantine-maudite.
A suivre.
L.T.