Ah ! 25 mars 2013
Ces représentations de la vie campagnarde sont souvent inspirées des poèmes de Mme Hồ Xuân Hương (XVIII-XIX, Hồ Xuân Hương - Wikipédia), des textes, parfois coquins, révélant la malice des femmes et la gaucherie des hommes. L'idéal est de trouver un exemplaire bilingue avec un commentaire, car cette poétesse joue avec l'ambiguité des mots. Un accent de plus ou de moins...
Ce matin Dulcinée devait se forcer pour se mettre en route. Peu avant de partir elle m'a, quand même, préparé mon thé d'artichaut. En découvrant la bouillotte (celle que j'avais oubliée sur le feu) elle a dit en faisant la moue:
- Mauvaise qualité, elle rouille déjà, sûrement du "chinois".
- Ah, ai-je répondu d'un air exclamatif et faux-culesque. Mentir par omission, le lendemain de la messe !
L'heure, quand faut y'aller...
Ma sortie ce lundi matin incertain. Pluie ou soleil, le ciel hésite. 28°.
Le goulet.
Ce n'est pas un gâteau mais le support sur lequel on attache les dragées et autres friandises
qui seront offertes par la délégation de la famille du jeune homme à celle
de sa future fiancée.
L'entrée latérale du coin des produits frais, derrière le marché couvert.
Le liseron d'eau.
Le long de la "montée" de Buoi.
Le deuxième passage sous le marché couvert.
Le spécialiste des pigeons.
Toujours difficile de photographier les chats en cage.
Le "14" du Deuxième Mois soli-lunaire, le marché des animaux.
T + C.
Une pensée pour les "Trois Soeurs".
Emballé.
Au début de la rue des plantes. Outsiders du marché des animaux.
Rue des plantes.
En buvant mon café.
Première cliente, la semaine commence bien.
Mon bon Ruisseau To Lich, recto - verso.
Retour sur la rue Thuy Khue.
L'entrée de notre ruelle 530, la coiffeuse tourne autour du poissonnier.
Pas encore assez civilisés.
Juju pensive. 18 heures dans cette boite ?
L.T.
C'est tout pour ce petit lundi. Bonne journée.