Chienne de vie /26.01.2013
Mes excuses aux z'Unes z'et z'aux z'Autres pour ne point vous avoir averti de mon changement d'adresse.
Ma sortie pour le pain.
(Moins de commentaires pendant quelques temps... après le naturel reprendra le d'ssus).
Le goulet.
Disons quand même qu'au nord, c'est dans les provinces à majorité chrétienne
qu'on mange le plus de chiens.
Touts les pagodes du pays sont ouvertes pour cette mi-mois soli-lunaire.
L'ilot du grand arbre du carrefour de Buoi.
Au carrefour.
L'ancien supermarché étatique est devenu une banque... de plus.
Le long de la "montée" de Buoi, coté descente.
Elle n'a que 15 jours pour mettre au monde un Dragon,
sinon "ça" sera un Serpent.
Pas très besogneuse la rue des plantes, ce samedi 26. Gris.17°.
Le chien fidèle du raccourci.
Encore les éboueurs ?
Retour sur la rue Thuy Khue.
La vendeuse ambulante de légumes de notre ruelle 530.
Dulcinée a fait son marché.
Des offrandes pour le "15" du Douzième Mois et des légumes.
Donc le Nouvel-an c'est dans quinze jours. Heureux présage, cette plante, devant l'entrée,
va donner une fleur pour le Tet, elle le fait tous les deux ou trois ans selon sa fantaisie.
P.S.1: Mon ami Pépé ne tient pas de blogue. Il a trop à faire dans son coin du Jura (français) où il vit avec sa Dulcinée-à-lui. Plus de quarante ans que nous nous connaissons. D'abord collègues de travail en radiologie médicale dans nos premières vies. Il est parti à travers le monde (en bateau à voile) et mai'nant...
P.S.2: Tonton-de-Chine est en vacances pour deux semaines dans son pays natal, en Europe.
Le mystère de la naissance de Momoh, son baptême et ses premiers pas. Bruges, sa ville en déclin.
Apprentissage chez son oncle et voisin Johann van den Boogart, 1434-1438, découverte du handicap visuel de l’enfant, suite de sa formation en géométrie et en dessin chez Maître Jan van Eyck, 1438-1440.
Début du chapitre 2:
" Timeo hominem unius libri"
"Maman Berthe tient en immense respect le frère aîné de son époux bien qu'elle n’entende jamais comment fonctionne la cervelle de cet homme si méticuleux et trop sévère. Il lui fallait une femme pour entrer à la Guilde, il en avait trouvé une. De bonne famille mais mentalement fragile. Un jour Johann l'a retrouvée pendue. L'évêché refusa de pieuses funérailles, il l'enterra donc en catimini près du canal, à sept fois sept pieds de sa manufacture. Inconsolable ou coupable, l'artiste choisit alors de ne plus peindre que des motifs...."