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Au gré de la plume
29 avril 2018

Samedi, - 24

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L'auberge du village est reprise par "des Turcs" vivant en Suisse depuis longtemps. Un gros camion venu de Turquie vient livrer.... , livrer quoi ? 

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Samedi matin.
On s'interroge, que va-t-on faire pour les 30/Avril-Premier Mai ? Au Vietnam c'est un pont de quatre jours. La nouvelle bourgeoisie fuit les villes et se retrouve, entre elle, dans de luxueux "resorts" en bord de mer. Je me souviens de nos escapades à Don Son quand c'était encore accessible au populo. Des cars entiers débarquaient des milliers de familles d'ouvriers et leurs victuailles. 
C'était sympa, comme en "36". 
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Samedi, plus tard. 
On se contente d'une sortie au Centre commercial des environs. Faut fatiguer le petiot.
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...... Un beau pays......

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Le moins qu’on puisse dire, c’est que les pompiers lausannois ont vécu la semaine dernière sous le signe du chat. Ainsi, après avoir prodigué des massages cardiaques à des minets intoxiqués par de la fumée mardi, les hommes du feu ont déployé la grande échelle samedi pour récupérer un chat perché au sommet d’un arbre à… 28 mètres de hauteur.

C’est la propriétaire de l’animal, persuadée qu’il ne saurait jamais redescendre de là-haut, qui a appelé les pompiers. «Apporter secours et appui à la population, cela fait aussi partie de notre mission», explique le lieutenant Michel Gandillon, responsable communication pour le Service de protection et sauvetage Lausanne (SPSL). Trois sapeurs-pompiers et la grande échelle ont été mobilisés pour l’occasion.

L’opération «sauver minet» n’a duré qu’une heure, déplacement compris. Reste la note à régler. Et elle n’est pas salée. Michel Gandillon: «Pour pareilles interventions, qui ne sont pas remboursées par les assurances, il existe un forfait que nous facturons directement aux propriétaires, pour autant bien entendu que nous les identifions, ce qui n’est pas toujours le cas quand nous intervenons pour un chat dans un arbre en ville.»

À Lausanne et dans sa couronne, le tarif est de 150 francs pour aller chercher un chat qui miaule à la mort au sommet de son arbre. «Ce sont souvent des personnes âgées qui nous appellent, et elles n’ont pas toujours les moyens financiers», explique Michel Gandillon. (24 heures/ 22.04.2018). 

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