Samedi

25 novembre 2017

De la terrasse où je vérifie le niveau du réservoir d'eau.

Quelques ennuis de mise en page et de connexion. Ne me les expliquant pas, une certaine prudence s'impose, après tout... j'utilise un serveur public appartenant à l'armée, tout comme nos GPS passe par l'armée américaine.

Pas de sortie ce samedi. Dulcinée est de corvée en sa fin de mission.

Piquons des vieilleries (libres de droits) sur la Toile....

C'est facile, la documentation est riche, pour d'étranges raisons l'Indochine fascine les chercheurs, amateurs et professionnels, il suffit de démarrer avec un bon mot-clef, ensuite on essaie d'éliminer les sites trop "partisans".

Je pense à la maman des soeurs (Marie, Dini, Maria,...), une maman qui a connu un gros morceau de l'histoire de ce pays.

Certains trouveront "la nostalgie d'un temps inconnu", d'autres essayeront de comprendre pourquoi cette fascination est si différente de celle de l'Afrique (ce qui est mon cas, tant je garde un bon souvenir de mes années en Afrique).

Samedi matin.
Se lever à quatre heures a du bon. Dulcinée s'est déjà enfuie. Les Soviets font leur sortie shopping au supermarché Metro aux environs de Hanoi, y'a donc un excellent flot de vagues wifiennes !

Mes tâches ménagères achevées j'ai tout mon temps. J'en profite pour refaire le plein de livres et de livres-lus. Un mélange dont du "Proust" (ayant entendu la rediffusion d'une émission des années "70", un long entretien avec sa nièce). Télécharger "Proust" requiert de la patience. Pour rester fidèle à son conseil je prépare une copie "papier" (c.à d. en version texte) et une autre (version, don) lue.

Cela fini (je ne listerai pas mes emplettes), retour sur la Toile à la recherche :-))) de ce qu'est un titre dans un ouvrage. Ici on raconte que ça n'a pas d'autre importance que celle d'accrocher le passant ! On peut le choisir, parait-il, avant ou après la rédaction de son oeuvrette.
Difficile de savoir ce qu'en pensèrent les grands auteurs. Il est pourtant évident qu'ils en pensèrent quelque chose, non ?

Excellente pause sandwich. Première opération: ressusciter une michette de pain juste sortie du congélateur 1) un coup de de-freezing 2) trois minutes au four, le temps de préparer quatre rondelles de salami et un café.
Je me plains du volume de nos bagages. Pourtant aujourd'huiencore nos provisions de salami, fromages et chocolat ne sont pas épuisées !

Pause distrayante : un concert (1983) de Michel Sardou. Deux bonnes heures. Comment puis-je aimer Sardounet ? Un type de droite !
- Y'a un tas de "types de droite" que t'aimes bien, j'sais.
- Oui ma Douce... tu veux des noms ?

Bonne fin de semaine à toutes et tous...