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Au gré de la plume
20 février 2017

Lundi, Treyvaux - 1

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L.T.

P.S.:

N.B.: pour les mordu(e)s j'ai pu finalement mettre en ligne des commentaires (vendredi-samedi), il suffitde revenir un jour en arrière. Mais ça n'est que du blabla.
- Comme d'habitude.
- Comme d'habitude.
La journée ne m'accordait que peu de temps libre et l'accès à Internet était impossible.

 

17h00. Dimanche.
Pour cette invitation nous avons du traverser le Fleuve Rouge. L'endroit ou vivent ces amis est ouvert, vaste et bien décoré (par la maîtresse de maison, experte en cette matière).
Trois chiens ! Un chat (au moins!.
Il y avait bien du monde, toujours les mêmes dirais-je. Peu importe. Mets vietnamiens variés, grillades et excellents vins australiens (choisi par le maître de maison qui s'y connaît), serviteurs attentifs.
Sur le retour nous nous sommes arrêtés chez une invitée qui souhaitait nous montrer sa maison-à-elle située dans un "ensemble" (compound) qui mélange villas et grandes tours. La-dite dame se préparait à acheter une troisième maison près de Londres (1 million de £ cash), son mari et elle ont changé d'idée, ils vont investir en Australie dans la culture de legumes bio.
En arrivant devant notre portail, comme j'ouvre le cadenas *, je me retourne pour lancer:
- Pourquoi es-tu la seule à ne posséder qu'une maison ?
Dulcinée sourit.
Il nous reste un peu de temps avant de retourner manger .

 

* De l'extérieur, c.à d. de la ruelle, notre portail-à-deux-battants présente à mi-hauteur deux petits trous en travers desquels on doit passer ses deux mains, l'une dans un l'autre dans l'autre pour atteindre les deux boucles de fer et le cadenas qui les attache. Son ouverture se fait donc à l'aveuglette. Il est préférable de ne pas laisser tomber la clef !
Précisons encore que ces deux trous (15 x 15 cm), dont je parle dessus, sont équipés de deux volets qu'il est possible de fermer de l'intérieur ce qui permet de condamner l'accès à ce désormais fameux cadenas.
Ça peut paraître compliqué, ça l'est.

 

22h30, retour à Buoi.
Ventres pleins.
Et avant de rentrer un crochet pour saluer Sœur Mai (3) et sa future belle-fille dont la cérémonie d'engagement aura lieu dans une semaine, le mariage dans une quinzaine de jours.

 

09h00. Lundi.
Aie ! La tête et les mains. Nous sommes entrés dans le sas de compression (airlock compression). On bat la chamade (au sens militaire de ce terme moyenâgeux: on sonne la retraite). Sacs, habits, souliers, valises,... ce concentrent, s'assemblent. Va pour l'extérieur.
Dans la tête il y a eu un déclic.

 

Pouchkine, "La Fille du Capitaine". L'écriture est limpide, pas un mot de trop (ce qui est l'une de mes nombreuses faiblesses). En dix lignes on le retrouve en pleine "bourane" (tempête de neige), sa "kibitka" (traîneau sur patins, tiré par des chevaux) prête à se renverser alors que la nuit tombe. Plus loin, pas trois pages pour raconter l'exécution sommaire de son capitaine et pourtant toute l'horreur y est. Si le "héros" parle à la première personne, deux phrases ici et là, pas plus, soudain l'auteur (qui n'est pas le personnage principal) s'adresse au lecteur = le "je" + Pouchkine.
Charlotte ? "Jane Eyre". Attaquons ! Gros pavé ! Sur ma tablette: 1200 pages (sur papier probablement dans les 700). "Charlotte" devrait me tenir jusqu'à Singapour, nous nous envolons demain mardi, 18h35. M'aidera-t-elle à oublier ma pipe ?

 

10h00. Je décline l'invitation préférant rester à la maison, avec quand même un crochet "par" mon petit café de la rue Hoang Hoa Tham.

 

...

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